Mardi 24 Août
Pour pouvoir chercher un logement, il faut un cellulaire, c’est donc avec l’intension d’en acheté un qu’on se rend au centre commercial du coin. Arrivé beaucoup trop tôt au magasin conseillé par notre hôte (il est 9H et n’ouvre que dans une 1/2H).
On patiente pendant 1H, le magasin n’est toujours pas ouvert !! On décide donc d’aller voir la concurrence, et on tombe sur un Français qui nous tient le crachoir pendant 3/4 H. Le monsieur nous vend son blabla sur le forfait étudiant virgin mobile, mais sans numéros de sécu…pas de forfait…Bon ben on commence par quoi ? Sans téléphone pas d’appart, sans appart pas de compte bancaire, pas de compte bancaire…pas de téléphone…pas de téléphone…pas d’appart…et puis sans travail…pas de numéros de sécu, heureusement que Solen en aura un gratos car elle est étudiante (Youpi !!). On se rend donc à la Fac pour donner tous mes papiers car j’ai appris par hasard (j’avais envoyé un mail à la registraire car pas de nouvelles instructions pour ma rentrée) que je pouvais m’inscrire dès maintenant et pas juste le 30 Août qui est en fait le jour du début des cours ! (et pas le jour des démarche administrative comme l’admission et l’inscription aux cours comme je le pensais).
Après quelques « petits » détours dans la Fac, on retourne à notre point de départ et regardons sur un plan, là, un mec super sympas nous demande ce que nous cherchons et nous indique le bureau d’information. Là on nous indique le bureau du registraire qui se trouve dans le bâtiment devant lequel on avait mangé…
Après les démarches administratives effectuées, nous rentrons à l’auberge en passant une dernière fois devant le magasin de cellulaires…toujours fermé.
Pendant que Solen, plus fatiguée, s’était couchée devant un programme québécois, j’ai essayé avec Marc, un français super sympa de passage à l’auberge, de configurer le wifi pour l’auberge. En même temps avec François Jacques, nous avons parlé d’artistes québécois et français, ensuite juste François et moi avons continué à parler de tout et de rien pendant des heures sur la terrasse. A minuit et demi, François veut se coucher, et je rejoins ma « blonde ».
Grâce à notre discussion, je révise mon plan d’attaque du marché du travail, en un an je n’aurai pas le temps de rentrer dans l’immobilier, il va me conseiller auprès de ses connaissances pour me trouver un job sur des chantiers, je verrais l’immobilier sous un angle plus technique.